3 semaines chargées plus tard : comme le temps passe (et des meilleurs) ou pour saluer Tom Wallace le floridien, comme le temps pabaie ou bien dans sa période bibliothécaire à Gainesville, lorsque le temps pilait ta masse ;-)

Tout de même, un petit intermède via un petit cadeau envoyé d'Espagne qui m'a permis d'assister mercredi dernier, à une longue et belle après-midi de sport au POPB et d'applaudir des premières loges les victoires du lunatique Nalbandian (face à Kieffer), du tactique Simon (face à Andreev), du physique Nadal (face à Serra), du tonique Tsonga (face à Stepanek) et du magique Federer (face à Soderling). Il ne manquait que le britannique Murray et le djokovique Djokovic pour avoir en l'espace de 9h, tout ce qui se fait de mieux sur la sphère tennistique. Encore merci au généreux pourvoyeur ;-)

Après la sympathique phase spectateur, celle d'acteur au moment des choix, l'est un peu moins. Dans la suite de la réflexion m'amenant à un changement d'orientation sur la manière de m'entraîner en triathlon (cf. news précédente), j'ai également opté finalement pour un nouvel horizon sportif. Pas tant pour voir si l'herbe Pantone 355C est plus verte que celle du Bistro Green 357C mais pour aller chercher dans d'autres challenges et projets, une énergie nouvelle et une émulation collective. A la toute petite échelle du sport, la décision fut loin d'être évidente et encore moins à celle tout-de-même plus grande et importante des fortes attaches affectives mais "choisir, c'est renoncer" et la cohérence s'impose là où la crainte ankylose (oui, je sais, on est loin de vert Laine). Et à l'échelle de l'(Miss) Univers, tout est si futile et (donc ?) passionnant.

Sinon, énorme bravo au toujours vert Christophe Bastie qui pour son 20è top10 sur Ironman réalise 8h24 (3è performeur français de tous les temps au niveau chrono derrière Vernay et Chabaud) !!!

Vivement que le calendrier définitif des courses sorte avec l'établissement des objectifs ciblés (perso et club). Comme annoncé également dans la news précédente, certainement un début de saison piano pour, si le chef d'orchestre assure en jonglant avec les rondes et les pauses, que les doubles croches et les quarts de soupirs ne s'emmèlent jamais, pas plus que les fausses notes ne s'en mèlent, une fin crescendo.